lundi 4 avril 2011

fandathlon 2011

voici notre sponsor officiel de notre 4éme édition merci a lui

Voir le Fichier : Endurance_shop_Vannes-Auray.JPG (strong)

jeudi 17 juin 2010

rugby 2 édition




la preparation de l'équipe avec l'entraineur. il est confiant !!!!!

plum' fm.

Lundi 21, un animateur de la radio plum' fm va nous présenté le matériel pour faire de la radio.
Mardi 22, avec cet animateur on va présenté le raid : les épreuves (vtt orientation, canoë, course d'orientation, run and bike et road book et une épreuve surprise), le nombre déquipes (17), les dates du raid 30 juin et 1er juillet.

le menu 21 au 25 juin 2010

mosaÏque




Nous avons fait une activité mosaïque avec Karine et Yonni. Tous les lundis matins, nous avons fait des tables en mosaïque et un miroir. Pour faire ces oeuvres, il faut du plâtre, du carrelage et puis de l'eau ; il faut mélanger le tout petit à petit. Le miroir que j'ai réalisé je l'offrirai à ma mère.
Grégory

jeudi 10 juin 2010

îles de glénans




Django Reinhardt
Jean Reinhardt, plus connu sous le nom de Django Reinhardt (Liberchies, Pont-à-Celles, Belgique, le 23 janvier 1910 - Samois-sur-Seine, France, le 16 mai 1953) est un guitariste manouche de jazz né en Belgique. Son style de jeu et de composition a ensuite été imité, donnant naissance à un style à part entière : le jazz manouche. Issu d’une famille manouche, il est encore aujourd’hui l’un des guitaristes les plus respectés et influents de l’histoire du jazz. Trois de ses descendants sont devenus guitaristes : Lousson Reinhardt, son fils aîné issu d'un premier mariage, Babik Reinhardt, son second fils décédé en 2001, et David Reinhardt, fils de Babik, qui poursuit aujourd'hui la voie de son grand-père en tant que jazzman, en refusant de n'être qu'un simple imitateur.

Une jeunesse en roulotte.
Jean Reinhardt naît le 23 janvier 1910 dans une roulotte stationnant à Liberchies, en Belgique, où il est déclaré « fils de Jean-Baptiste Reinhardt et de Laurence Reinhardt »1. Son père Jean-Eugène Weiss travestit son nom pour échapper à la conscription2. L’enfant fait partie d’une famille de Roms (gadjkénés) nomades habitués à traverser l’Europe de part en part. Il passe donc sa jeunesse à voyager en France, en Italie ou en Algérie pour fuir la Première Guerre mondiale avant que sa famille ne se fixe finalement à Paris, d’abord sur les Fortif’, la Zone mal famée jouxtant la Porte de Choisy, puis à la Porte d'Italie.
La rencontre avec le banjo de son oncle à l’âge de dix ans est décisive. Fasciné par l’instrument, le jeune Django n’a dès lors de cesse de s’écorcher les doigts sur ses cordes oxydées. Il fait son apprentissage en observant avec attention les musiciens de passage au campement, et acquiert bientôt une dextérité hors du commun. Il se mettra ensuite, avec le même bonheur, au violon et finalement à la guitare.
À l’âge de 13 ans, il court déjà le cachet dans les bars et bals de Paris, ainsi que dans les demeures des gens aisés, tout en continuant de jouer surtout pour son propre plaisir. La réputation du jeune virtuose se répand chez les amateurs de musique et en 1928, l'accordéoniste Jean Vaissade permet à Django d’enregistrer son premier disque4. L’adolescent ne sachant ni lire ni écrire, même pas son propre nom, les étiquettes portent la mention " Jiango Renard, banjoïste ".

Un destin capricieux .
La même année, le chef d’orchestre Jack Hylton, impressionné par la virtuosité de Django, lui propose de l’engager dans sa formation de musique populaire, qui doit partir se produire à Londres. Mais le destin contredit ce projet : juste avant le départ du groupe, le 26 octobre 1928, un incendie se déclare dans la roulotte où le musicien vit en compagnie de sa première femme, Bella Baumgartner. Les fleurs en celluloïd — matière très inflammable — que celle-ci vend s’enflamment au contact d’une bougie renversée, détruisant la caravane et blessant assez gravement ses deux occupants5. Django surtout est sérieusement atteint à la jambe droite et à la main gauche. Celle-ci cicatrisant très difficilement, il reste près de 18 mois à l’hôpital, où les médecins prédisent qu’il ne pourra plus jamais rejouer de musique. On doit finalement brûler sa main au nitrate d'argent pour provoquer la cicatrisation. Django a perdu l’usage de deux doigts6, mais s’obstine néanmoins, et, après 6 mois de travail sans relâche, il développe une technique nouvelle sur la guitare que son frère Joseph, alias « Nin-Nin », lui a apportée en guise d’outil de rééducation.
Au printemps 1930, alors que Django est toujours soigné à l’hôpital Saint-Louis7, une commission de contrôle militaire vient juger sur place de son état de santé : le musicien, âgé de 20 ans et devant donc accomplir son service militaire, n’a répondu depuis deux ans à aucune convocation. Mais ses blessures lui permettent d’être rapidement exempté.

Le Hot Club de France : gloire dans un monde en guerre.
À sa sortie d’hôpital en 1930, Django Reinhardt a développé une toute nouvelle technique guitaristique, d’autant plus exceptionnelle qu’elle n’emploie que deux doigts de la main gauche, plus le pouce pour le jeu en solo. Il parvient néanmoins à plaquer quelques accords en contorsionnant son annulaire et son auriculaire ankylosés. Il découvre qu’entre-temps, la guitare a gagné sa place au sein des orchestres de Jazz, cette nouvelle musique venue des États-Unis. Les premiers contacts de Django avec la musique de Duke Ellington, Joe Venuti, Eddie Lang ou Louis Armstrong sont un grand choc, et le jeune guitariste décide de consacrer son existence à la pratique du Jazz.
En 1931, il joue dans l’orchestre du club la « Croix du Sud », dirigé par André Ekyan, au côté de Alix Combelle et Stéphane Grappelli. À cette époque, il lui arrive également de jouer avec l'accordéoniste d'origine italienne Vetese Guerino, l'un des as de l'âge d'or du musette et les frères Baro et Matelo Ferret.
Avec Stéphane Grappelli, ils fondent en 1934, grâce à Louis Vola, le Quintette du Hot Club de France. Le groupe comprend également le frère de Django, Joseph, alias « Nin-nin », ainsi que Roger Chaput à la guitare et Louis Vola à la contrebasse. Les cinq musiciens inventent une musique innovante qui remporte un grand succès. Les années suivantes, ils enregistrent de nombreux disques et jouent dans toute l’Europe aux côtés des plus grands musiciens de l’époque, tels que Coleman Hawkins, Benny Carter ou Rex Stewart. Ces derniers tentent à plusieurs reprises de prendre en défaut la technique instrumentale et les connaissances musicales de Django dans des défis musicaux, tels qu’il s’en pratiquait fréquemment à l’époque, mais le guitariste gagne leur respect en se révélant, malgré son incapacité à lire la musique et son apprentissage quasiment autodidacte, d’une maîtrise à toute épreuve. C’est ce talent qui avait convaincu le chanteur Jean Sablon qui l'engage et l’impose dans les studios d’enregistrement dès 1933.
Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate en 1939, le quintette est en tournée en Angleterre. Tandis que Stéphane Grappelli choisit d’y rester, Django retourne en France, à Toulon, où il est mobilisable dans la Flotte mais est à nouveau réformé à cause de ses brûlures. Il passe la guerre en Zone Libre, jouant à Paris, voyageant et tentant même de gagner la Suisse après un passage à Thonon, sans succès11.
En 1940, il enregistre le titre Nuages avec le clarinettiste et saxophoniste de jazz Hubert Rostaing.‎ En décembre 1940, il enregistre notamment avec l'orchestre de Pierre Allier, dont fait partie pour une session le tromboniste André Cauzard.
En 1943, il épouse, à Salbris, Sophie Ziegler, sa seconde femme, dont il aura l’année suivante un fils, Babik Reinhardt, qui deviendra à son tour un grand guitariste. À la Libération, il retrouve Grappelli avec lequel il improvise sur une Marseillaise qui restera célèbre.
Il est ensuite l’un des premiers en France à comprendre le be-bop, cette révolution du jazz venue des USA portée par Parker et Gillespie. Il intègre à ses compositions dès la fin de la guerre (R26, Mike, Babik...) de nombreuses trouvailles inspirées directement du be-bop, tout en restant toujours fidèle à ses propres conceptions musicales.
D'après Wikipédia.